SOBE Ayalis

Sujet: SOBE Ayalis Dim 01 Mai 2011, 3:25 pm

♣ Informations générales.

▬ Nom: Sobe
▬ Prénom: Ayalis
▬ Surnom: votre job ;D

▬ Âge: 16 ans
▬ Groupe: Si j'ai bien compris c'est le rôle des admins
▬ Origine: Tchèque

▬ Orientation sexuelle: hétéro (théoriquement)
▬ Rang souhaité: Vous pouvez choisir de ne pas en mettre.
RANG ICI

♣ Description approfondie.

Physiquement

La première chose que l’on peut dire, c’est qu’Ayalis ne se distingue pas particulièrement d’un point de vue physique. Elle mesure 1m.. pour ..kg, ce qui sans la placer dans le surpoids, laisse deviner quelques kilos et un peu de ventre en trop. Malgré tout, Ayalis n’est pas du genre complexée, et elle considère que tant qu’elle peut camoufler ça derrière des vêtements un peu amples, il n’y a pas de quoi s’alarmer. Sa peau est plutôt blanche, toutefois elle n’est pas parfaite. En effet on pourra même y distinguer de temps en temps des rougeurs ou même (quelle horreur !) des boutons.

Ses cheveux sont coupés au carré avec une frange qui vient régulièrement lui chatouiller les cils. Naturellement bruns, il n’est pas rare que sa chevelure subit régulièrement toutes sortes de colorations en fonction de l’humeur du moment de la demoiselle. Vous pourrez donc aussi bien la trouver avec des cheveux gris qu’avec des cheveux verts pomme. Elle possède des lèvres relativement bien dessinées, et un nez légèrement en trompette. Ses yeux, quand a eux, se contentent de voir. Ils hésitent entre le noir et le brun, ce qui peut occasionnellement leurs donner des reflets violets dont elle est assez fière, mais pas assez pour en faire un de ses atouts physique. Quand à ses mains, bien qu’elle ai des doigts longs et fins, elle a pris la mauvaise habitude de se ronger les ongles, ce qui gâche considérablement l’aspect de ces dernières.

Du côté vestimentaire, elle achète ce qui lui plait sans chercher à accorder, et enfile en général le premier vêtement qui lui passe sous la main, le matin, lorsqu’elle se lève à la dernière minute. Toutefois elle porte surtout des vêtements assez amples pour camoufler ses formes, et elle apprécie particulièrement les chemises d’hommes 3 fois trop grandes pour elle et les pantalons.

Ayalis est donc banale, et à moins qu’elle n’ai décidé de se teindre les cheveux en rouge, vous aurez du mal à la repérer dans une foule. La demoiselle se soucie donc relativement peu de son physique, ce qui d’après elle lui permet de grandes économies de temps et d’argent.

Psychologiquement

Ayalis est une jeune fille énergique, qui ne se départit jamais de son sourire et de sa bonne humeur… et ce, même quand ce n’est définitivement pas le moment de rire, et quitte à blesser ou énerver les autres. D’autant plus que ce n’est pas parce qu’elle arbore un sourire qu’elle est positive et heureuse d’être là. Seulement, tout prendre avec un masque de bonne humeur est un moyen pour elle de ne rien céder à personne. De toute façon, on a jamais vu cette jeune fille céder quoi que ce soit à qui que ce soit. En effet, une enfance passée à voir tous ses désirs accomplis au moindre sanglot en ont fait une égoïste accomplie. Et quitte à ne prendre que ses intérêts en compte, Ayalis le fait bien, en oubliant au passage que les autres peuvent également avoir une opinion. Mademoiselle a en effet oublié qu’elle n’était pas la seule personne au monde, et elle ne prêtera donc jamais attention à savoir si ses propos vous blessent. Cependant on ne peut pas dire que cet égoïsme est médité. C’est simplement qu’Ayalis a toujours été le centre du monde de ses parents, et qu’elle a naturellement adopté l’attitude de ne pas faire attention aux autres. Elle ne cherche pas à blesser les gens, mais il ne lui vient tout simplement pas à l’esprit qu’elle puisse faire du mal, et encore plus, si ce sont des mots qui ont cet effet. Etant matérialiste au possible, il lui semble improbable que des sons puissent faire mal. Elle entretient un rapport particulier avec l’argent, persuadée qu’il est la solution à tous les problèmes.

Finalement, Ayalis, sous son manteau de bonne humeur, n’a pas d’autre objectif que de continuer à faire de sa vie quelque chose d’amusant et d’agréable. Pour cela, elle évite toute prise de tête, et ne prend rien au sérieux, pas même ce qui est sérieux. De ce fait, elle est toujours franche, parce que quelque soit ce qu’elle dit, elle ne pense pas aux conséquences, et si conséquences il y a, elle y fera face avec sa bonne humeur et son culot.

Ayalis est donc une jeune fille énergique, égoïste, matérialiste et toujours de bonne humeur et prête à s’amuser, peu importe les conséquences.

Goûts

: Ayalis aime rire et s’amuser, et ne rien prendre au sérieux. Elle aime manger, en particulier ce qui est sucré, explication de ses quelques kilos en trop. Encore une fois, elle n’est pas ce qu’il y a de plus originale. Elle aime la nature, les livres, la musique mise à fond, le cinéma et rester au lit le plus tard possible, ce qui explique en partie le peu d’attention qu’elle porte à son apparence. Il est en effet difficile de s’attarder sur un quelconque maquillage quand on se lève à peine 5 minute avant le début des cours.
Ayalis aime l’art en général . Elle tient ce penchant de son père, qui était lui-même un amateur d’art, et c’est sans doute la seule chose qu’il ai jamais partagé avec sa fille. Laquelle, en bonne petite fille gâtée, possédais déjà sa propre petite collection privée à l’âge de 9 ans. Et elle aime l’argent, dont elle connait très bien le pouvoir qu’il donne.

Ayalis n’aime pas tout ce qui peut de près ou de loin ressembler à une prise de tête. Plus sa vie est simple et plus elle est heureuse. C’est pourquoi elle met de côté toutes les questions existentielles qu’on aime se poser les jours de déprime du genre « pourquoi vit-on ? ». De toute façon, Ayalis ne déprime pas, et son côté matérialiste écarte toutes les questions du genre. « On vit, ça suffit largement ». A part cela, n’étant pas sadico-psychopathe dans l’âme, elle n’apprécie pas trop les histoires de tortures et autres choses sympathiques que peuvent se raconter certains pensionnaires du campus au coin du feu. Enfin, on ne peut pas dire qu’elle affectionne le sport, même si elle sait prendre du plaisir à en faire de temps en temps.

Histoire

Ayalis est née fille unique, de parents à la fortune bien plus que confortable, et qui pensaient être un couple stérile. Toutes les conditions étaient donc réunies pour faire du nouveau-né un enfant choyé, adoré et gâté, au point d’en finir pourrie jusqu'à la moelle. Et comme visiblement les choses ne sont pas faites au hasard, c’est effectivement ce qui arriva à Dagmar, 1er nom d’Ayalis, qui, en l’espace de 15 ans, a changé de prénom pas moins de 5 fois, par pur caprice et à l’aide de quelques larmes écrasées au coin des paupières. Ses parents lui ont toujours tout cédé. Et encore, utiliser le verbe céder laisse supposer une certaine forme de résistance…inexistante. Chaque caprice était entendu, et réalisé grâce à quelques contacts bien placés où de copieux pot de vin. C’est notamment ainsi qu’on fit changer un bon nombre de fois le prénom de la demoiselle. Bien sûr, la petite fille n’était pas dupe et il ne lui fut pas difficile de comprendre que peu importe ce qu’on lui accordait, l’argent en était toujours la cause. Et pour tout ce luxe, tout ce que Ayalis avait à faire c’était passer 3 à 4 heures par semaines avec ses parents. Heures pendant lesquelles elle servait de poupée barbie vivante à sa mère, qui passait volontiers des heures à la coiffer et à l’habiller en s’extasiant devant sa « petite princesse », mais, qui finalement, se réjouissait plus d’avoir encore réussi à créer une magnifique coiffure que d’être avec sa fille. Le père quand à lui, l’emmenait parfois à des ventes aux enchères, où elle se créa une petite collection personnelle. Finalement, Ayalis n’aimait pas ses parents, elle aimait leur argent. Toutefois, elle ne souffrait pas de la relation qu’elle avait avec ses parents, persuadée tout comme eux qu’il s’agissait réellement d’amour, et d’une bonne éducation de leur part.. Elle a donc eu une enfance des plus dorés, bercés par l’argent bien réel de ses parents, et l’illusion de leur amour. Même aujourd’hui, elle avoue sans problème avoir eu une enfance très enviable et agréable. « Dommage qu’il y ai eu des conséquences! » est la seule conclusion qu’elle en tire. En effet, la fillette est devenue un monstre d’égoïsme, persuadée de sa supériorité et de son intouchabilité. Persuadée que la vie est facile dès qu’on sait verser une larme sur commande. Malheureusement pour elle, un petit frère est arrivé.

Si longtemps après, que s’en était impensable, un vrai miracle pour des parents déjà vieux, et pour qui le premier enfant était déjà incroyable. Imaginez, avant même la naissance, les montagnes de cadeaux, toute l’attention monopolisée… A 14 ans, Ayalis a compris que les choses changeaient. Quand on est numéro un, on fait tout pour garder sa place. C’est dans l’ordre des choses. Alors Ayalis a pris les devants. Plutôt que de se faire voler sa place, et ensuite lutter pour la reprendre, le mieux était d’éradiquer la concurrence. Après tout, on l’avait déjà fait, pour qu’elle gagne toutes sortes de compétitions. Alors Ayalis a poussé sa mère dans les escaliers. Et sa mère en a fait une fausse couche. Alors la mère a pleuré, le père a hurlé. Elle a essayé, comme d’habitude. Les larmes, les pleurs… rien. Ça n’a plus jamais marché. Ayalis a été cataloguée comme psychopathe par sa mère, et elle s’est retrouvée en centre de correction. Là, les larmes ne marchaient plus. Ça étonnait tout au plus. Officiellement, elle était quand même une fille dérangée à tendances violentes. C’est la première fois que l’argent des parents se retournait contre elle. Une trahison… la pire de toute. Pas celle des parents. Celle de l’argent. L’argent avait acheté le juge contre elle. Pour l’envoyer ici.

Un rude choc sans aucun doute pour la pauvre petite fille si persuadée d’être intouchable, que de se retrouver parmi des délinquants après son enfance toute rose. Mais l’adaptation s’est fait. Les larmes, sa meilleure arme, étaient devenues totalement inutiles ici. Alors Ayalis pris le parti contraire. Celui du sourire. Toujours, en permanence.

Et puis le psy. Ayalis l’a bien aimé. Avec la trentaine, le style négligé et l’air toujours pressé. C’est avec lui qu’elle a pris du recul. Qu’elle a réalisé que sa vision du monde était fausse, et qu’elle a compris pourquoi on lui en voulait. Il a compris aussi. Compris qu’Ayalis n’était pas une psychopathe mais une fille trop gâtée. Alors il s’est moqué. De ses chaussures à talons et de ses robes de couturiers. Et il l’a si bien fait qu’Ayalis n’a plus voulu y être associée. Elle a eu honte d’elle-même pour la première fois de sa vie, et elle a radicalement changé son attitude et ses goûts. Elle a appris que sa mère l’avait fait changer de nom. Plus sa fille. Quelle importance ? Elle ne voulait plus être ce qu’elle avait été. Et puis le campus. « Ta mère t’envoi dans un campus en Australie. Pour les délinquants et les cas difficiles. En temps que cas dangereux.» Au fond, c’était plutôt un soulagement de quitter le centre, elle n’en pouvait plus d’être toujours écrasée par les autres. Ayalis est partie pour Sydney. Mais finalement, il n’y a pas grand-chose à guérir chez elle ; si ce n’est son égoïsme.

Famille

Ayalis n’entretient plus aucune relation avec ses parents, qui l’ont tout bonnement reniée depuis son crime. Toutefois, cela ne la dérange pas, car elle désire rompre totalement avec ce qu’elle a été. Elle n’en veut pas à sa mère et dit comprendre ses actions. « Elle s’est lassée de moi. Elle a voulue une autre personne avec qui s’amuser. C’est normal, j’ai toujours fait la même chose avec mes jouets. Quand je me lassais, je jetais. Sauf que contrairement à un jouet, moi, j’ai essayé de me défendre.»

Bien qu’il ne soit pas de la famille, le psychologue d’ayalis est la seule personne avec qui elle entretient encore une relation, et qu’elle apprécie réellement

♣ Le Créateur.

▬ Prénom: Marie
▬ Pays: France
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Topsite, en essayant de découvrir la signification des trois lettres R.P.G. ... quelle honte ._.°
▬ Niveau Rp ? débutante totale.
▬ Code: Code ok :D Dwayne.

Spoiler:

Sujet: Re: SOBE Ayalis Dim 01 Mai 2011, 4:12 pm

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